Il y en a certains qui naissent pour rêver, d’autres pour faire rêver. Grace Kelly. Elle avait « quelque chose » de magique, d’extraordinaire, de génial. « Quelque chose » qui séduisait et, en même temps, ensorcelait. « Quelque chose » qui la rendait unique et inimitable. Bref, « quelque chose » à contempler. Pour contempler une étoile, il faut la voir. Pour la voir, il faut qu’elle brille. Pour briller, elle doit resplendir de sa propre lumière. Et Grace Kelly était une étoile qui brillait de sa propre lumière! Umberto Russo, « l’écrivain au stylo magique » – comme on le définit –, sans égal dans cette superbe œuvre, a réussi de façon magistrale à transformer en fable ce qui était déjà fable dans la pensée de Dieu.