Au verso: Marie dit à Maria Valtorta: « Je ne vais pas te parler longuement, parce que tu es bien lasse, ma pauvre fille. J'attire uniquement ton attention et celle des lecteurs sur l'habitude constante de Joseph et la mienne de donner toujours la première place à la prière. Sécheresse, hâte, chagrin, occupations c'était des choses qui n'empêchaient pas la prière, mais au contraire ils la favorisaient. Elle était toujours la reine de nos occupations, notre réconfort, notre lumière, notre espérance. Si aux heures de tristesse elle était le réconfort, aux heures heureuses elle devenait un chant. Mais elle était l'amie fidèle de notre âme. Elle nous détachait de la terre, de l'exil, elle nous tournait vers les hauteurs du Ciel, la Patrie... Ne vous dépouillez jamais de la protection de la prière, contre laquelle s'émoussent les armes de Satan, les malices du monde, les désirs de la chair et l'orgueil de l'esprit. Ne déposez jamais ces armes qui ouvrent le Ciel et en font pleuvoir grâces et bénédictions. » Vision du mardi 28 mars 1944. Clouée au lit depuis de nombreuses années, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile. Cette vie de Jésus, étonnante de précisions, a été lue, à titre personnel, par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans. Les visions de Maria Valtorta sont publiées en France sous le titre « L'évangile tel qu'il m'a été révélé ».